« La décision de l’élimination physique du Commandant Marien Ngouabi fut arrêtée à Abidjan, sur instructions des services français par Monsieur Houphouët Boigny en présence de Sassou Nguesso à l’époque Ministre de la Défense. Jean François Probst né le 8 mars 1949 à Paris et mort le 12 juin 2014 à St jean de Luz homme politique français proche de Jacques Chirac dont il a été chargé de mission dans les années 1977, confirme dans son ouvrage intitulé : Chirac mon ami de trente ans » publié en mars 2007 aux éditions Denoël, la responsabilité de Sassou dans la mort de Marien Ngouabi.
Il précise en effet que c’est la France à travers les services de Jacques Koch Foccart, qui avait donné l’ordre à Sassou Nguesso de procéder à l’exécution du Président Marien Ngouabi le 18 mars 1977.
Le capitaine Denis Sassou Nguesso est membre du CNR dès 1968 et Ngouabi a fini par faire de lui l’homme le plus puissant de son régime : d’abord Directeur général de la sécurité d’Etat en 1975, puis Ministre de la Défense en 1976 et membre de l’Etat-Major Révolutionnaire Spécial aux côtés de Marien Ngouabi et Jean Pierre Thystère -Tchicaya, Sassou Denis est pratiquement le n°2 du régime. Sous Marien Ngouabi, il est l’homme le plus renseigné de la République, en contact permanent avec les principaux officiers et ayant placé toutes les personnalités sous écoutes, y compris le Chef de l’Etat. Depuis 1963, Jacques Foccart a recruté le sous-lieutenant Sassou comme agent des services secrets français, pendant sa formation de 6 mois à Saint-Maixant en France. A ses différents postes Sassou démantèle, tous les 6 à 9 mois, une tentative d’atteinte à la sécurité intérieure et extérieure de l’Etat. Le but principal est d’isoler Marien Ngouabi pour l’abattre plus facilement le moment arrivé
Extrait du livre de Me Massengo-Tiassé à paraître dans les prochaines semaines.
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IL FAUT TUER CE SASSOU LUI AUSSI !
ET TRES VITE !
SINON CET IDIOT DE SASSOU VA DETRUIRE LE CONGO !
QUE QUELQU’UN LUI METTE UNE BALLE DANS LA TÊTE OU A SES PROCHES
SAUVEZ LE CONGO