Congo-Brazzaville: une épidémie de chikungunya touche la moitié du pays

Au moins 4 000 personnes vivant dans la quasi-totalité des régions sud du Congo, soit la moitié du pays, sont touchées par une épidémie du chikungunya qui risque de se propager sur l’ensemble du territoire national. Les autorités sanitaires invitent les populations à prendre des mesures préventives au nombre desquelles l’utilisation systématique de la moustiquaire, la maladie étant provoquée par des piqûres de moustiques.

Les premiers cas de cette épidémie ont été détectés en janvier dans la ville océane de Pointe-Noire par l’Institut national de recherches biomédicales de Kinshasa. Depuis lors, Brazzaville a pris le relais et suit l’évolution de la maladie qui touche majoritairement la couche féminine.

« Cela s’explique par le fait que le moustique, vecteur en cause, ici au Congo-Brazzaville, a une activité de piqûres tôt le matin et en fin de journée. Ce sont des moments où les femmes s’occupent des activités ménagères. Nous pensons que les femmes sont plus victimes pour ces raisons-là », a expliqué Dr Jean-Vivien Mombouli, directeur général du Laboratoire national de santé publique.

Provoqué par des piqûres de moustiques, le chikungunya présente les mêmes symptômes que le paludisme, il se manifeste également par des douleurs aiguës et les malades ont parfois des déformations.

Les autorités sanitaires conseillent aux populations jusque-là épargnées, de prendre des mesures jugées simples. « Essayer de se prémunir des piqûres de moustiques en utilisant, par exemple, de l’essence de citronnelle, essayer de faire la sieste sous moustiquaire et porter des habits à manches longues pour réduire la surface des piqûres », a conseillé le Dr Mombouli. Le Congo n’en est pas à sa première épidémie de chikungunya.

RFI

3 thoughts on “Congo-Brazzaville: une épidémie de chikungunya touche la moitié du pays

  1. TOUS LES MOYENS DOIVENT ETRE MIS EN OEUVRE POUR ELIMINER SATAN

    L’assassin nguesso doit être embusqué et abattu dans n’importe quel pays du monde. Comme il aime se pavaner, l’opposition n’a qu’à payer des tireurs d’élites qualifiés et en finir une bonne fois pour toute.

    Au pays, les militaires armés doivent monter des guet-apens préparés par des groupes restreints de 2, 3 ou 4 personnes maximum qui ne devront pas communiquer par téléphone. Utiliser d’autres moyens de communication.

    Dans les quartiers, des petits groupes de jeunes doivent aussi s’organiser en bandes restreintes de 2, 3 ou 4 personnes qui ne devront pas aussi utiliser les téléphones qui sont tous sur écoutes. Ces jeunes doivent fabriquer des cocktails Molotov et les balancer la nuit sur les demeures des ministres et autres gouvernants iniques comme les Ndengué, Bouya et même les maisons de leurs maîtresses et leurs enfants.

    Les militaires à la retraite doivent prendre leurs responsabilités.

    Si Satan est hors de portée, il faut éliminer ceux qui l’accompagnent dans tous ses crimes. Quand un ou deux ministres seront abattus les autres fuiront le même jour et le peuple se lèvera.

    IL FAUT NUIRE AUX NGUESSO ET LEUR BANDE PAR TOUS LES MOYENS POSSIBLES ET IMAGINABLES.

    PAS DE PITIE POUR LES CRIMINELS QUI N’ONT JAMAIS EU PITIE DES CONGOLAIS

    CAPORAL MASSON C’EST LE MOMENT OU JAMAIS DE DEGAINER

  2. MILITAIRES PATRIOTES !
    MILITAIRES A LA RETRAITE !
    JEUNES DES QUARTIERS !
    BA TEKES BO TELEMA !
    BA MAKOUAS BO TELEMA !
    BANA PONTON BENO TELAMA !

    CONGOLAIS, TOUS DEBOUT !

    Bo boma wana bokoki.
    Bo toumba ba ndako na bango.
    Bo toumba ba ndako ya ba makango na bango.
    Bo toumba ba ndako ya bana na bango.
    Ministres,
    Députains,
    et autres.

    Tous ceux qui encouragent et accompagnent Satan Nguesso dans ses crimes doivent payer. Tous, sans exception.

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