Les opposants congolais devraient arrêter de pleurnicher et se mettre au travail

3 thoughts on “Les opposants congolais devraient arrêter de pleurnicher et se mettre au travail”

1. MAKOUA NE TOMBERA PAS : VIVEMENT LA FIN DU GOULAG BARBARE ET LA CHUTE ANNONCÉE DE SASSOU NGUESSO
   C’EST FAIT, SASSOU ET KABILA DANS LE MÊME BATEAU DE LA NOYADE D’ICI FIN 2018…. NE JAMAIS TRAHIR NI SA TRIBU, NI SON PEUPLE ET ENCORE PLUS GRAVE SA NATION…. ATTENTION
   Le dictateur Sassou Nguesso a ses 120 esclaves indignes fils des akwas qui roulent contre la majorité des dignes fils de Makoua, une tribu située à cheval sur l’équateur au Congo Brazzaville. Le problème du Président élu et légitime Jean Marie Michel Mokoko et de ses codétenus prisonniers politiques n’est pas que local (Makoua) mais national (le peuple et la nation).
   Par conséquent pendant et après la chute annoncée de Sassou Nguesso, les traitres des différentes tribus et de la nation seront traités et punis dans les conditions prévues par l’expression de la volonté générale (le peuple) tant au niveau local que national. https://www.youtube.com/watch?v=Q7et97MbThI

   Répondre

2. comment definisser vs un vrai opposant et quels actes doit il poser pour sa reconnaissance? paulin makaya n’est pas injustement arrete des vieilles pmks distribuees par b kolelas en 1996 et abandonnees pendant la guerre du 5 juin avaient ete retrouvees chez lui.

   Répondre

3. @LUC MAMPASSI,
   Cher monsieur, en vous lisant, j’ai l’impression que soit vous vivez sur la planète MARS, soit vous vous voilez les yeux devant les faits qui démontrent que notre pays est occupé par une bande de criminels déguisés en pouvoir d’État.
   Comment pouvez-vous prescrire de telles solutions lorsqu’on sait qu’au Congo les criminels enferment des gens qui dénoncent leurs crimes ?
   Comment peut-on parler d’une opposition ou d’une constitution dans un pays comme le Congo où toutes les lois et les droits les plus élémentaires sont impunément et systématiquement violés ? Cf. Rapport OCDH et US Département sur les droits de l’Homme au Congo Brazzaville et les procès politiques 2018.
   Vous comprenez cher monsieur que les éléments cités ci-dessous nous incitent à nous poser des questions sur la possibilité d’existence d’une opposition politique réelle et non violente devant un pouvoir qui pratique des méthodes de gouvernement digne de la grande criminalité.
   Par conséquent, comment peut-on considérer les gens qui sont nommés « opposant » par ce même pouvoir ? Peut-on penser que votre article est fait pour enfumer les Congolais devant une réalité qui saute à l’oeil ? Si c’est le cas, je pense que vous vous êtes trompés d’époque et vous prenez les Congolais pour des imbéciles !
   Les Congolais ont actuellement besoin des Hommes qui ont une vision pour mener le Congo à bon port. Pour y arriver, il faut avant tout et absolument se débarrasser de cette bande de criminels et rendre justice par la suite. Le reste n’est que diversion.

   Répondre