Les diables rouges du Congo notre équipe nationale ont perdu toutes les rencontres qu’ils ont disputé au stade de Kintélé. Afin de conjurer le mauvais sort, le ministre des sports Hugues Ngouélondélé a demandé aux terriens de Kintélé de désenvouter le stade. Notre conseil : C’est plutôt le Président Sassou Nguesso qu’il faut désenvouter.
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Quelle honte, mais en même temps, avec un ministre de ce type,cela ne surprend pas.
Chè(e)r(e)s compatriote(s),
Le Militant de la Résistance vous informe que c’est à KINTÉLÉ que les assassins du Président NGOUABI sont allés tuer le Cardinal Emile BIAYÉNDA dont l’esprit hante nuit et jour le chef de ces assassins connu sous le nom de Denis SASSOU NGUÉSSO. Ce dernier est persuadé que son sort est scellé par l’esprit du Cardinal. Voilà pourquoi « l’assassin revient toujours sur les lieux de ses crimes ».
Le désenvoutement du stade de KINTÉLÉ est donc loin d’être lié à une quelconque malédiction des Diables rouges, notre équipe nationale, qui peineraient à gagner. Ni à l’expropriation de nos compatriotes que SASSOU NGUÉSSO a toujours méprisé et payé en monnaie de singe. Il n’y a là qu’une diversion destinée à tromper les plus faibles d’esprit. Car nos footballeurs, en réalité, ne sont que le reflet du pays où le mal-être est devenu la norme. La misère sociale est ambiante au Congo. Elle se lit sur tous les visages dont ceux de nos joueurs de foot. Et, nul ne peut être performant en étant ventre affamé et profondément attristé par le malheur quotidien. C’est ce qu’il fallait dire (CQFD).
Cela étant dit, « quand le sage montre la lune, le sot regarde de doigt ». Le sot ne comprend pas le vrai sens des choses, il n’en voit que la surface. Tandis que le désenvoutement du stade de KINTÉLÉ est lié à des causes plus profondes et lointaines (1977) que le sage Militant de la Résistance tient à vous révéler.
Avant tout, le Militant de la Résistance vous rappelle qu’OTSOMBÉ (le père de SASSOU et féticheur de profession) avait prédit ceci à son fils : « le jour où vous quitterez le pouvoir, vous souffrirez beaucoup ». C’est après une violente dispute avec son père que, avant d’expirer, il fit par dépit cette prophétie au fils SASSOU qui en est devenu hystérique et allergique. Depuis ce jour, SASSOU n’aime pas que quiconque lui parle de quitter le pouvoir. Ceux qui ont osé le lui dire ont tous disparu. Or, la RÉVOLTE GÉNÉRALE, que le Militant de la Résistance appelle de ses vœux, gronde et pointe à l’horizon. Le putschiste SASSOU II se sait fini. Son régime est aux abois. La peur est du côté de ce dernier car impuissant devant sa chute qui s’est inexorablement enclenchée. Ce qui rappelle au putschiste SASSOU II l’effrayante prophétie de son père OTSOMBÉ.
C’est pour conjurer ce mauvais sort qu’un de ses nombreux féticheurs lui aurait conseillé de désenvoûter le « gazon maudit » de ce funeste stade de KINTÉLÉ. Hugues NGOUÉLONDÉLÉ (son ministre des sports) et les propriétaires terriens de KINTÉLÉ ne sont que les dindons de cette farce.
Chè(e)r(e)s compatriote(s), l’esprit de l’innocent Cardinal Emile BIAYÉNDA continue à hanter plus que jamais son assassin. Le Cardinal Emile BIAYÉNDA, cet apôtre de la paix, n’a jamais été en quête du pouvoir politique. Pour s’être rendu le 18 mars 1977 à l’Etat-Major pour une audience avec le Président Marien NGOUABI, le Cardinal était devenu un témoin gênant qu’il fallait liquider. Denis SASSOU NGUÉSSO lui envoya un corps expéditionnaire composé des parents du Présidents Marien NGOUABI (à qui SASSOU avait fait croire que le Cardinal a participé à l’assassinat de leur fils), d’OSSÉLÉ, d’OBOURA et du Sergent MAMOYE comme chauffeur.
Dans une Land Rover blanche, remise par le Ministre de la défense d’alors, c’est-à-dire le putschiste SASSOU I, les membres du commando se dirigèrent vers l’Archevêché, à la Cathédrale Saint-Anne où logeait le Cardinal. Ils prétextèrent que ce dernier était attendu au Ministère de Défense par le Comité Militaire du Parti (CMP) mis en place par SASSOU et le Comité Central du Parti Congolais du Travail, la nuit même de l’assassinat du Président NGOUABI.
Après avoir fait monter le Cardinal à bord de la Land Rover, ils se dirigèrent vers la résidence de SASSOU où ils prirent deux autres membres du peloton. C’est de là qu’ils prirent la direction de KINTÉLÉ, à 35 km de Brazzaville, sur la route nationale n°1, au Nord de Brazzaville. Arrivé sur une plaine (où se trouve maintenant le complexe sportif de KINTÉLÉ), ils descendirent du véhicule, commencèrent à manier leurs armes pour passer à l’acte. Et le chef du peloton ordonna le mot d’ordre fatal, dans la langue mbochi : « KIA NGUÉ HO » (faites-moi l’affaire). Devant un MAMOYE qui ne comprenait plus rien, ils prirent le corps qu’ils voulaient laisser sur place dans un premier temps et reprirent la route, heureux d’avoir rempli leur contrat de tueurs à gage. Ils s’arrêtèrent un moment au cimetière ÉTATOLO où ils enterrèrent le corps du Cardinal.
A Brazzaville, la nouvelle de l’assassinat du Cardinal se répandit comme une trainée de poudre et fit grand bruit. La tension fut vive. Et Brazzaville fut au bord de l’explosion. Les Catholiques exigèrent que le corps du Cardinal leur soit restitué. SASSOU et ses acolytes obtempérèrent et se résignèrent à aller déterrer le corps du Cardinal.
C’est encore MAMOYE qu’ils choisirent pour aller exhumer la dépouille. Cette fois-là, le commando ne fut pas que chargé par Denis SASSOU NGUÉSSO de récupérer le corps, mais aussi de liquider le Sergent MAMOYE devenu un témoin gênant.
Mais MAMOYE n’échappa à l’exécution que grâce à une indiscrétion d’un des membres du peloton qui lui souffla qu’on l’amenait pour l’éliminer. Mis dans tous ses états et n’ayant plus rien à perdre, MAMOYE se mit à crier haut et fort à qui voulait bien l’entendre. Ses cris alertèrent Denis SASSOU NGUÉSSO qui sortit de son bureau afin de savoir ce qui se passait. C’est là qu’il tomba nez à nez avec un MAMOYE fou furieux. Dans son dernier élan, MAMOYE chercha à se faire entendre. Devenu soudainement fou de rage, Denis SASSOU NGUÉSSO lui lança : « MAMOYE, je vais te rentrer ; MAMOYE, je vais te rentrer ». Et MAMOYE de lui demander : « pourquoi avez-vous demander qu’on aille m’exécuter ? Qu’ai-je fait ? Ce n’est pas moi qui ai assassiné le Cardinal, ce sont les OSSÉLÉ et les autres ». Débusqué, SASSOU ordonna au chef du peloton de l’épargner. C’était l’époque où l’assassin ne voulait jamais qu’on sache qu’il est un assassin, préférant prêter ses crimes à d’autres au profil de coupable idéal. C’est ainsi que notre témoin privilégié eut la vie sauve.
Chè(e)r(e)s compatriote(s), l’Histoire est le récit des événements passés que le Militant de la Résistance tenait à vous rappeler. C’est sur elle qu’il faut s’appuyer pour envisager un avenir meilleur et durable.
En retournant la terre de KINTÉLÉ pour y construire un complexe sportif, SASSOU n’a fait que réveiller l’esprit de notre martyre le Cardinal Emile BIAYÉNDA qui le poursuit à grand pas. Vouloir rattraper les choses (à travers un Nième désenvoutement) est une peine perdue. D’ailleurs, vu l’ampleur de ses crimes, c’est plutôt tout le Congo qu’il faudrait désenvouter. Ce qui est une mission impossible.
Autant vous dire que le putschiste SASSOU II est fini. Son régime est aux abois. Il est temps pour ce fou de SASSOU de répondre pour tous ses crimes. VIVE LA RESISTANCE ! VIVE LE CONGO LIBRE !
La Sentence
Quelqu’un peut me définir en mobchi se veut dire
La dignité
La personnalité
Le respect
La valeur personnelle
En Kikongo c’est le KIMOUTOU « KIMUTU »
Alors le CHU le seul hôpital d’une grande agglomération comme Brazzaville ferme ses portes.
Toute les finance du pays a terre
L’école n’en parlons pas
Le POOL c’est devenu l’abattoir humain
DANS LE KIMUTU, LA SEULE SOLUTION DE SORTIE A CET IGNARE DE CANNIBALE SASSOU C’EST LA DEMISSION PURE ET SIMPLE.
MAIS JE NE SAIS RIEN EN MBOCHI, IL FAUT RESTER JUSQU’AU DRNIER SURVIVANT
On parle de l’entourage mais qui nomme tous ces ignorants des crimels. Sassou nomme tout le monde ( le gouvernement, les députes, les maires, les directeurs….) . Si rien ne fonctionne qui est responsable n’est pas le plus grand criminel africains de les temps au nom de sassou.
C’est bien de n’importe quoi! Mais les mbochi la aime bien les fetiches ou croire aux soriciers. Si tel est le cas comme vous prétendez le croire, pour éradiquer vraiment ce mal, ce n’est pas les mannes tékés qu’il faut appeler implorer mais plutot négocier honnêtement avec les propriétaires des terrains que l’Etat a exproprié formellement mais sans payer les droits des personnes concernées. Il s’agit là d’un état prédateur et voyou. Jusqu’a quand ces gens vont attendre pour percevoir leur indeminités?Hugues Nguoulendélé, Jean Jacques Bouya, Claudia Ikia, Jean Dominique Okemba, Kiki Sassou Nguesso, Gilbert Ondongo, Denis Ngokana, Sassou Nguesso Denis Edgar Nguesso et bien d’autres ont mis l’argent du Congo dans les paradis fiscaux, Dans le situation actuelle du Congo où le caisses sont vides, il serait mieux que ces gens ramènent les fonds gardés dans les paradis ficaux dans les caisses de l’Etat pour faire face aux problèmes comme celui là. Quand Jean Jacques Bouya achète cache en liquidité un chateau au canada de plus de 4 millions d’Euros, cette argent ne pouvait vraiment pas permettre de payer une bonne partie des expropriés du stade de Kintelé. L’argent qu’on a utilisé pour achéter les armes, payer les mercenaires pour tbombarder pendant plus d’une années et tuer d’autres congolais dans la région du Pool ne pouvait pas servir pour résoudre cette question? Non il faut simplement le bon sens, la rationnalité. Il y avait l’argent, il y a l’argent utilisé ça pour le bien des congolais non pour faire le mal telle que sassou nguesso l’a fait dans le Pool. Sachez bien ceci, l’acte des sage téké aura tout son sens que si et seulement si tous les expropriés ont perçu leur argent. Les batékés n¡ont plus le pouvoir absolu sur cette terre qu’ils avaient déjà aliéné en vendant des parcelles aux congolais. Ce sont les propriétaires qui sont vraiment les ayants droits. Resolvez leur problème et la victoire de l’équipe nationale viendra.
Pauvre Congo! Comment peut-on croire dans un pays où l’injustice règne en maître absolu, où les mères de familles pleurent tous les jours qui un enfant, qui un mari…Un pays où certains maris cherchent encore jusqu’à ce jour où sont passés les restes de leurs enfants ou de leurs femmes…Oui, comment imaginer un pays où l’être humain a été vidé de tout son caractère sacré, où pour un oui ou un non, on vous jette en prison pour les veinards et pour les autres, vous disparaissez pour une direction inconnue…Comment imaginer un pays qui oublie ses retraités, qui ne reconnait aucun droit des travailleurs licenciés…Oui, je dis comment un tel pays peut-il prétendre gagner une coupe quelle qu’elle soit? Une victoire nationale est d’abord le résultat de l’union entre l’âme d’un pays, ses représentants et les dirigeants. En ce qui concerne le Congo, cela est un luxe…Alors, ne rêvons pas…Autant organisé même une énième cérémonie de lavement de main, les »diables rouges’, continueront à être les lanternes de l’Afrique dans toutes les compétitions internationales…
Autant organiser….les lanternes rouges de l’Afrique…
Les cérémonies traditionnelles existent dans nos pays, tous connaissons la réalité de l’Afrique profonde, bien que l’acculturation bat son plein. Toutefois il n’était pas nécessaire que cela se fasse sous les projecteurs des caméras, pour être ensuite diffuser au journal télévisé. Maintenant pour ce qui est des performances de l’équipe de football du Congo, la première solution est de remercier le sélectionneur français, pour le remplacer par un congolais ou un étranger africain.
Si le ministre des sports croit à la malédiction pourquoi ne commence t-il pas à répondre à la question suivante : Qui a tué Marien Ngouabi, Biayenda, Massamba Débat ? Quand ces personnalités étaient vivantes, le Congo gagnait partout. Je dis partout c’est-à-dire au sport et à l’économie. Le pays avait un semblant d’unité. La jeunesse était enthousiaste et l’économie du pays était prospère. Aujourd’hui, les jeunes et moins jeunes de ce pays portent une douleur au fin fond d’eux parce qu’ils ont perdu les leurs. C’est aussi cela la malédiction que porte le stade de Kintélé. Au lieu de désenvouter le stade préférable de réunir tous les fils du pays et se poser les bonnes questions. Le ministre peut aller voir le meilleur des féticheurs, rien ne se fera. L’équipe nationale ne gagnera jamais. Le stade n’est pour rien. Les expropriés n’y sont pour rien non plus. Le mal de l’équipe nationale est dans la gestion de la chose publique. Le ministre sait ce qui se passe et pourquoi l’équipe nationale ne gagne jamais.
SASSOU A TOUT DETRUIT : JUSQU’A QUELLE POLITIQUE ANTISOCIALE LES CONGOLAIS PEUVENT-ILS ACEPTER L’INACEPTABLE ? http://congo-objectif2050.over-blog.com/2017/10/sassou-a-tout-detruit-jusqu-a-quelle-politique-antisociale-les-congolais-peuvent-ils-acepter-l-inaceptable.html
On comprend maintenant pourquoi à la mairie de Brazzaville plus rien n’allait.
– et les bus de Brazzaville qui entrent souvent en grève, c’est aussi la malédiction des expropriés?
– et les grèves récurrentes à la morgue municipale, c’est aussi la malédiction des expropriés ?
– et l’insalubrité chronique des quartiers de Brazzaville, c’est aussi la malédiction des expropriés?
ET SI C’ETAIT NGOUELONDELE LUI MÊME QUI ETAIT MAUDIT !!!
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Un monde irrationnel en plein XXI è siècle? Comment le Congo peut il avancer avec des ignares comme Ngouolendélé? Si Brazzaville est une ville poubelle, c’est pas parceque Hugue Ngouolendélé et compagnie ont détourné litéralement les budgets alloués chaque année pour assainir la ville de Bzv, mais parceque les batéké, propriétaires de cette terre veulent vivre dans la saleté. Combien d’argent est investi pour le sport au Congo? Allez demander aux propriétaires fonciers de venir faire ces gesticulations à la télévision nationale est comme un internaute a dit ici du vrai n’importe quoi, c’est un acte vraiment pathétique qui revèle simplement de la mentalité fétichiste inculquée par Sassou Nguesso à ses partisans, ces piètres cadres qui sont coupables sur tous les plans de la tragédie que vit le pays depuis bientôt un demi siècle. Rationnalisez vous s’il vous plait.
Si les tékés sont si forts,il serait mieux qu’ils désenvoutent d’abord les joueurs. Tout ceci me fait pitié.
Et si jamais les Diables n’arrivaient toujours pas à gagner un match à Kintélé, à qui NGOUELONDELE irait -il demander de conjurer le mauvais sort : à NTUMI qui fait la résistance dans le Pool ?
Mais quel honte! quel malheur! Ces ignorants doivent être exécutés. Enfin, le fameux président Sassou est devenu aveugle, sourd et muet? Mais où va-t-on? Pourquoi nous humilier à ce point? Et Antoinette, l’AVC a complètement détruit ses neurones? Même elle ne peut pas parler à son monstre de mari? Les congolais sont soumis à ce point? Et les féticheurs des couilles de Sassou acceptent de venir faire du simulacre comme ça?
Revenez jouer vos matchs internationaux dans la ville côtière, tous les problèmes des Diables Rouges c’est Pointe-Noire. Voilà
Il y a des dizaines de lieux qui doivent être désenvouter au Congo Brazzaville, il fallait commencer par le stade Alphonse MASSAMBA Débat où était exposé des corps du lieutenant Bidié Ange DIAWARA et autres, imaginez la France exposer les corps des djiyadistes aux stade de France, le jeune Kintélé stadium n’a pas un passé macabre pour être désenvouter, gagner des matchs c’est l’affaire de tout un pays, de tout un peuple, et d’un gouvernement quand un pays marche dans la paix de la reconnaissance et le respect du christ sauveur tout ce qui suit marche. il faut en.une bonne organisation du bureau technique du ministère des sports motiver les sportifs en payant leurs efforts, que de sortir plus d’argent à financer les féticheurs d que de donner cet argent aux ayant droit les sportifs. de l’histoire du pays aucun sportif Congolais n’a touché une retraite. est ce qu’il existe une caisse de retraite pour les sportifs et musiciens Congolais ces gens se tuent pour sauver l’honneur du pays Congo, quand seront ils reconnus à leur propre valeur, gouvernement Congolais méditez là dessus.
Ce n’est pas un problème d’envoûtement, encore moins de foi mauvaise de la part de qui que ce soit. Regardons nous bien en face. Sommes nous sérieux ? Je ne pense pas. A commencer par le ministre, son entourage sportif, la fédération, les joueurs et ceux qui financent. Seul conseil: que chacun mette du sérieux dans l’accomplissement de ses missions. Il n’y a pas de magie à faire, c’est perdre du temps pour rien. Soyez professionnels, ayez l’amour du pays et de ce que vous faites, tout va marcher. Investissez vous pleinement. Si chez vous, votre enfant ne travaille pas l’école pendant que celui de ton voisin excelle, rien ne sert de recourir aux forces du mal. Mettez lui les conditions d’une bonne scolarisation, trouvez lui des répétiteurs à domicile et faites vous-même le contrôle et le suivi des activités. Sur une, deux ou trois années successives les résultats seront là. Ce n’est pas de l’injustice, la loi de la nature est claire là dedans.
Ce pouvoir génocidaire, idiots, féticheurs continue à faire honte. Ce n’est pas une céromie de desenvoûtement qui va faire avancer le sport congolais. Tout un problème de gestion, de justice humaine, de bonne selection et gouvernance qui fera avancer les choses au Congo et non la discrimination, le tribalisme