L’Assemblée générale des Nations Unies proclame la Décennie mondiale de l’afforestation à compter de 2027, une victoire de plus pour Denis Sassou-N’Guesso

L’Assemblée générale des Nations Unies a adopté ce jeudi matin trois textes, dont une résolution par 155 voix pour, une quasi unanimité pour ce genre d’élection souvent clivante,  en vertu de laquelle elle décide de proclamer la Décennie des Nations Unies pour le boisement et le reboisement dans le cadre d’une gestion durable des forêts (2027-2036).

Constatant la valeur que revêtent les forêts et leur gestion durable, ainsi que leurs multiples contributions au développement durable, l’Assemblée a adopté ce texte présenté par le Président de la République du Congo, Denis Sassou-N’Guesso, « afin de renforcer la coopération internationale et le renforcement des capacités dans l’objectif d’enrayer puis d’inverser la réduction du couvert forestier dans le monde ».

Dans ce contexte, elle invite les gouvernements et autres parties prenantes –organisations internationales et régionales, société civile, peuples autochtones, communautés locales, secteur privé et milieux universitaires– à appuyer activement la mise en œuvre des activités de la Décennie, notamment par des contributions volontaires, et à partager les meilleures pratiques et les connaissances à cet égard.

Lors de la COP29 à Bakou, le président de la République du Congo, Denis Sassou-N’Guesso, a pris la parole devant les chefs d’État, de gouvernement et les instances internationales, notamment le secrétaire général des Nations unies et le président de la COP29. Il a félicité l’Azerbaïdjan pour l’organisation de cet événement mondial et a présenté une initiative ambitieuse, appelée « Décennie mondiale de l’afforestation et du reboisement », pour laquelle la République du Congo a soumis une résolution à l’Assemblée générale des Nations unies.

Cette initiative vise à renforcer le rôle crucial des forêts dans la lutte contre le changement climatique et à promouvoir un reboisement planétaire.

La dégradation de l’environnement constitue l’une des grandes menaces de la survie de l’humanité. C’est pourquoi, « le leader écolo-visionnaire », pour paraphraser l’écrivain chercheur congolais, le Dr Michel Innocent Peya, Ambassadeur des Droits et Devoirs de l’humanité et de l’Environnement,  appelait les BRICS + à une coopération plus renforcée dans ce domaine.

« A ce sujet, le Congo vient de soumettre à l’Assemblée générale des Nations-Unies, la résolution sur la décennie mondiale de l’afforestation et du reboisement, pour consolider le rôle crucial des forêts dans la régulation du climat. J’invite donc les BRICS+ à se placer à l’avant-garde de cette lutte au service de la survie de l’humanité toute entière », déclarait le numéro un congolais.

L’inscription par l’Assemblée générale des Nations-Unies à l’agenda 2027-2037 de la décennie mondiale de l’afforestation et du reboisement, vient démontrer par la preuve que le plaidoyer de Denis Sassou N’Guesso pour une planète verte est en passe d’aboutir sur des actions concrètes à l’échelle planétaire.

Cet idéal de progrès qui traduit la vision écologique que Denis Sassou N’Guesso portée inlassablement à toutes les tribunes internationales par le Chef de l’État congolais et que l’écrivain chercheur Michel Innocent Peya a toujours vulgarisé dans ses ouvrages, connait désormais le juste mérite d’une reconnaissance de tous les pays, dont les délégués ont voté pour la décennie mondiale de l’afforestation et du reboisement.

Cela tient d’un long combat pour la préservation des écosystèmes et leur régénérescence à travers le planting des arbres, des actions portées par Denis Sassou N’Guesso depuis déjà de nombreuses décennies, du temps où l’écologie politique était quasi inexistante.

La justesse de cette vision a fini par essaimer d’abord en chaque congolais puis, à travers l’Afrique avec l’Union africaine, et désormais le monde à travers cette résolutions des Nations Unies.

Les changements climatiques de plus en plus perceptibles avec leur corolaire de catastrophes, sont venus convaincre les sceptiques voire les dubitatifs, de la justesse de la vision de Denis Sassou N’Guesso, et de la nécessité, à l’instar des congolais convaincus de la noblesse de cette vision, d’une action de reboisement à l’échelle planétaire, en témoigne la quasi-unanimité, dans le vote de cette résolution qui consacre la décennie mondiale de l’afforestation que Denis Sassou N’Guesso a toujours appelé de ses vœux, afin qu’ensemble, les humains, où qu’ils soient sur la planète, mutualisent leurs efforts dans une action qui fait le bien de tous, sans distinctions.

Cela vient en aussi en échos

 de ce que du 2 au 5 juillet 2024, sur invitation du Président congolais, Denis Sassou N’Guesso, le Congo accueillait le monde, pour ensemble, se mettre au chevet de la planète, avec la première conférence internationale sur l’afforestation et le reboisement (CIAR).

Cette conférence a rassemblé plus de 2000 participants, venus de plusieurs pays, incluant les Chefs d’État et de Gouvernement, les ministres, les représentants des organisations internationales, de la communauté scientifique, du secteur privé, des ONG et de la société civile.

La conférence avait entre autres objectifs : D’établir un état des lieux de l’afforestation et du reboisement à l’échelle mondiale.

D’adopter une stratégie mondiale d’afforestation et de reboisement, incluant les aspects techniques et financiers.

De solliciter l’inscription de la Décennie Africaine et Mondiale de l’Afforestation dans l’Agenda des Nations Unies, au moyen d’une déclaration mondiale sur l’afforestation et le reboisement.

Fortement investi dans l’accompagnement et la vulgarisation de la vision écologique du Président Denis Sassou-N’Guesso, Michel Innocent Peya a participé à la Conférence internationale sur l’Afforestation et le Reboisement de Brazzaville, avec un apport hautement pensé. L’édition une brochure intitulée : « Décennie Africaine et Mondiale de l’Afforestation et du Reboisement Plaidoyer Mondial de Denis Sassou N’Guesso pour une planète verte ». La brochure fut éditée en français, en anglais, en espagnol, en russe, en arabe et en chinois afin d’être accessible à tous les participants.

Une fois de plus, au cours de cette conférence, le Président Denis Sassou N’Guesso s’adressait aux congolais, à l’Afrique et au monde, insistant sur l’état des lieux de l’afforestation et du reboisement à travers l’analyse des progrès et des défis persistants dans la restauration des forêts. Il rappelait l’urgence climatique, le rôle des forêts et l’impact sur les vies humaines, à travers des échanges sur le rôle crucial des forêts dans la régulation climatique et la protection de la biodiversité.

C’est pourquoi il réaffirmait les conclusions adoptées par la conférence, notamment au niveau des engagements, avec la finalisation et la mise en œuvre de la stratégie mondiale de l’afforestation et du reboisement adoptée durant la conférence, ainsi que le processus d’endossement de la Décennie Mondiale de l’Afforestation et Reboisement par l’Assemblée Générale des Nations Unies. Dire qu’une bataille est gagnée mais le combat est encore long car il est de tous les instants.

En cela, l’écrivain chercheur Michel Innocent Peya peut se satisfaire et se sentir encouragé de ce que le combat écologique et le leadership de Denis Sassou N’Guesso qu’il a toujours portés à travers ses publications, la vision qu’il a toujours vulgarisée dans ses livres, du reste traduits en plusieurs langues, méritent bien son investissement d’écrivain chercheur, ce qu’il a toujours fait avec brio et qui mérite d’être également salué, en ce jour si spécial.

Au pays de Denis Sassou-N’Guesso, l’arbre est un compagnon inséparable de l’homme, y compris par la branche transformée en canne en bois qui souvent assiste ce dernier, pour son équilibre locomoteur, pendant le troisième âge. Plus qu’un symbole, l’accompagnement de l’être humain par l’arbre se révèle incontournable dès lors que la forêt incarne, tout à la fois, la médiation et le dialogue.

C’est sous l’arbre à palabres, véritable institution traditionnelle, que sont trouvées les solutions les plus inattendues aux problèmes du village.

La forêt ne sera plus uniquement une ressource pour son bois, mais encore davantage par l’action exercée sur la vie en société et l’oxygène vital qu’elle libère pour la survie de l’humanité.

En outre, au cœur de la lutte contre les érosions, les inondations ou les glissements de terrain, les arbres accélèrent les différents processus de rétablissement ou de régénération.

Par ailleurs, les forêts confèrent de nombreux avantages en matière de santé. Selon certaines études, un produit pharmaceutique sur 4 est fabriqué à base d’arbres, grâce à leurs propriétés médicinales largement reconnues depuis la nuit des temps.

Enfin, sources d’approvisionnement en denrées alimentaires pour les hommes et les animaux, les arbres rendent l’air plus sain en devenant des réservoirs de séquestration de carbone, contribuant à la réduction de gaz à effet de serre.

Au Congo-Brazzaville, les populations mesurent à présent l’importance de l’afforestation et du reboisement, après avoir mis en doute l’option visionnaire et anticipatrice de Denis Sassou-N’Guesso d’étendre et densifier les forêts, au regard du couvert végétal du pays, sur une superficie de plus de 60% du territoire national.

L’urgence climatique d’aujourd’hui, les canicules de ces derniers temps, les incendies de forêts, l’ensablement des cours d’eau, il n’a pas fallu plus que ces phénomènes pour illustrer l’imminence d’un danger qui menace le Congo-Brazzaville.

Pour sa part, le Congo-Brazzaville et son Président pourraient se prévaloir d’une visibilité ancienne, voire lointaine, en ce qui concerne la préservation des écosystèmes forestiers.

A ce sujet, une loi promulguée le 11 septembre 1984 a institué, au Congo, la Journée nationale de l’arbre, pour laquelle, le 6 novembre de chaque année, tout citoyen congolais est tenu de planter un arbre d’essence fruitière ou d’espèce forestière.

40 ans après son instauration, la Journée nationale de l’arbre est devenue une tradition et une pratique durable, de portée patriotique, à travers l’adhésion et la participation massives des populations à cette œuvre salutaire. Chaque congolaise et chaque congolais accomplissent ce devoir citoyen avec ferveur et en toute responsabilité.

Ainsi, le Congo plante et célèbre toujours les arbres, grâce à son Président Denis Sassou-N’Guesso.

Jean-Jacques Jarele SIKA/Bertrand BOUKAKA/Les Echos du Congo-Brazza

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